La ville a un charme différent de Khiva. On se plaira à se perdre à la découverte des monuments historiques bien restaurés, disséminés à travers la ville: une forteresse royale, plusieurs mosquées et madrassas, des bassins…
On restera 3 jours à errer dans les quartiers de Boukhara, pour la beauté de son architecture et la gentillesse des ouzbèkes.
C'est à Boukhara qu'on nous proposera le meilleur taux de change au marché noir 6800 Som pour 1 euro contre 3300 au taux officiel, pratique courante en Ouzbékistan.
On rencontrera un couple mixte tadjik/ouzbek et leurs enfants qui nous proposeront de venir manger et dormir chez eux.
Nous refuserons, préférant nous conformer à la loi ouzbèke qui demande aux étrangers de s’enregistrer à l’hôtel, sous peine de forte amende ou d’expulsion ; même si théoriquement un enregistrement tous les 3 jours suffirait. Nos enregistrements seront inspectés scrupuleusement à la frontière.
NDLR : Laurence est devenue tata à Boukhara, son frère Sébastien ayant eu un petit Emrys avec sa femme Prune.
De fait nous avons fait une pause pour que Laurence contacte sa famille et vive cet instant important.